C'est bien vrai qu'à Venise sommeillent d'inestimables invitations à la rêverie, masquées par la brique saumâtre. Ah, le délicat flottement des sous-vêtements agités par le vent, ah la couleur éclatante retrouvée des chaussettes du grand-père, portées triomphalement aux nues après tant de semaines passées dans l'oubli... Merci, merci à l'inventeur du séchoir éolien, protecteur de l'environnement. Et à J@M pour ce bel hymne pictural à la pince à linge.
Ah bon?! Je confirme qu'il y en a partout.
RépondreSupprimerBuona giornata caro!
Paraît que Superman se crashe chaque fois qu'il descend dans cette rue. Affreux !...
RépondreSupprimerZ'ont pas séparé le blanc des couleurs. Pas normal, ça...
RépondreSupprimerJe confirme qu'il y a beaucoup de linge aux fenêtres à Venise. C'est même un phénomène qui tend à se développer tambour battant.
RépondreSupprimerC'est bien vrai qu'à Venise sommeillent d'inestimables invitations à la rêverie, masquées par la brique saumâtre.
RépondreSupprimerAh, le délicat flottement des sous-vêtements agités par le vent, ah la couleur éclatante retrouvée des chaussettes du grand-père, portées triomphalement aux nues après tant de semaines passées dans l'oubli...
Merci, merci à l'inventeur du séchoir éolien, protecteur de l'environnement.
Et à J@M pour ce bel hymne pictural à la pince à linge.