mardi 6 mai 2014

Gageons que le vendeur de chapeaux n'est pas vénitien car ils savent que passer entre les colonnes porte malheur depuis que l'espace eut servi de lieu pour les exécutions suprêmes. Et puis vendre des couvre-chefs à l'endroit où l'on perdait généralement la tête est un drôle de revirement de l'histoire, pas vrai ?

Molo San Marco

9 commentaires:

  1. Ben oui, ça porte malheur !!!
    Ce vendeur travaille du chapeau !

    RépondreSupprimer
  2. Il travaille quand même près du bar. Pas si fou !

    RépondreSupprimer
  3. On le voit souvent en terrasse. On dit même qu'il est plein des Spritz !

    RépondreSupprimer
  4. des Spritz ou du Dubonnet ?

    RépondreSupprimer
  5. Du Dubonnet !
    Quand on a la tête près du Dubonnet, on travaille vite du chapeau...

    RépondreSupprimer
  6. Il vend des couvre-chefs à l'endroit où l'on perdait généralement la tête ?
    Il risque de se retrouver aux "à bonnet absents"...

    RépondreSupprimer
  7. Combien de Spritz ou de Dubonnet pour nous sortir toutes ces âneries ? lol (Je ne vous raconte pas combien il m'en faut pour sortir les miennes... re-lol)

    RépondreSupprimer
  8. Môôôssieu, comme vous le savez, aux ânes bien nés, la valeur n'attend pas le nombre des bonnets !

    RépondreSupprimer
  9. Je me rends: en âneries je ne suis pas le plus fort... Et pourtant je fais tout pour...

    RépondreSupprimer